Philippe Pouzaud, dit « Grissôme » (voir la blogolist) m’a envoyé un joli cadeau aujourd’hui, je vous laisse voir par vous même :
Les grous se répandent de plus en plus… ils prennent nos formes ! Nos visages ! AAAAAHHHHH !
Il semble que je ne sois plus le seul à vouer une obsession aux grous. 😉
J’ai reçu quelques dessins que je vous fait partager avec une joie non dissimulée :
Tout d’abord deux dessins d’une sorte d’ermite urbain, un anonyme dont j’espère voir un jour le blog en ligne :
Ensuite, mon camarade Rincefeu, du Monastère, nous présente la collection printemps-été 2009 (avec un peu de retards certes)
Et enfin, voici d’autres versions de la bonne et mauvaise conscience du grou. Un grand merci à Carine ! 🙂
Oh bon dieu ! La découverte du jour va changer la face du monde ! … bon, ok, j’exagère peut-être un peu, mais quand même ! Ça peut au moins changer la face de la journée !
Afin de comprendre la relation entre les grous et les kiwis, j’ai étudié d’anciens textes mésopotamiens absolument sans rapport, des fois que, sur un malentendu, il y ait une réponse dedans pouvant m’aider.
Jusque là pas de surprise : je ne comprend rien au mésopotamien, et il n’y avait aucune réponse dans l’ouvrage. Mais lorsque j’ai reposé ce dernier sur l’étagère de ma bibliothèque, entre plusieurs DVD d’animation, je me suis rendu compte qu’il y avait un p’tit grou qui m’observait silencieusement du haut de la bibliothèque.
Il avait cette tête de grou curieux qu’ils ont tous. Et en regardant mieux aux alentours, je me suis rendu compte qu’il n’était pas tout seul : ils étaient plusieurs ! Cinq petites têtes chevelues qui me regardaient avec curiosité. Vu leur taille, d’à peine quelques centimètres de diamètre, et vu leurs coupes improbables, c’était des jeunes. Ils avaient même avec eux un panier rempli de kiwis, sans doute pour la bonne fortune.
L’occasion était trop belle, aussi, j’ai sorti de mon sac un des kiwis que je gardais avec moi (ben oui, on sait jamais quand on tombera sur un grou. Et en plus c’est bon, et comme il faut manger 5 fruits et légumes par jour, ben avoir un kiwi sur soi est très utile !).
En le voyant, tous les grous furent attirés vers moi. Ne sachant pas par où commencer, je suis donc allé droit au but : « Pourquoi les kiwis ?! » ais-je demandé, plein d’espoir.
Ils se sont tous regardé, puis, silencieusement, ils se déplacèrent sur mon bureau et modelèrent leur choueux jusqu’à faire apparaître le mot suivant :
Et là, un éclair de lucidité frappa métaphoriquement mon cerveau ! Mais oui, c’était logique ! Bijoux, cailloux, choux, joujoux, genoux, hiboux, poux… et groux !!!
Le pluriel d’un grou, c’est des groux ! Et non pas des grous ! C’était l’évidence même, et pourtant, pourtant, nous étions passés à côté de la 8ème exception, celle que tout le monde pensait n’être qu’un mythe.
Bon, cela ne m’aide en rien à résoudre le mystère des kiwis. Mais au moins, ça nous apprend potentiellement deux choses :
Maintenant, le problème… c’est comment savoir si la bonne réponse c’est la 1 ou la 2 ? Une idée quelqu’un ?
Et encore un mystère insoluble de plus… Et pourquoi les kiwis !?!?! … et d’où sortent les p’tits grou(s/x) qu’on voit quand même souvent ces derniers temps ?